Les Amoureux
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Bonjour encore ! Ça fait longtemps que je viens ici mais vous me connaissiez : j’ai souvent l’air d’humeur changeante ou, comment est qu’on dit, peut-être lunatique ? Comme je m’ennuie et j’essaye de trouver quelques bons passe-temps, j’ai commencé à lire et, bien-sûr, à écrire de nouveau des poèmes. L’anglais, c’est une langue pour les insipides et j’ai trouvé la poésie de langues romans sont très belle- de quoi m’inspirer ! Ce n’est pas facile mais on trouve de faire quelque chose qui représente un défi, n’est-ce pas ? Et ce n’est pas mon premier poème en français (je vous dirai plus tard). J’espère que vous le trouvez satirique, comme je l’ai fait. Le rythme est inspiré par un poème du M. Georges Brassens, au nom de *Les Copains d’abord *. Il a pu l’air de sophistication mais si vous ne comprenez pas, ne vous inquiétez pas !
Les Amoureux de l’année
Ce n’était jamais sur comment ils ont senti,
la solitude, on voit au ralenti
comment ils ont senti
il y a des étapes comme des saisons,
et chaque saison a ses propre raisons
on dit c’est l’année d’amour,
l’année d’amour
Quand des feuilles tombent,
les futurs amoureux se voient
ils essaient de trouver des communs passe-temps,
et ruminent pendant longtemps
des communs passe-temps
cherchent des prétextes d’un rendez-vous,
et disent «je t’aime» comme des fous
partagent une veste le vent,
quand sont intimes, ils promettent à aller lent
on dit c’est l’automne d’amour,
l’automne d’amour
Dans l’hiver quand le neige commence,
se reposer dedans semble une sentence
mais ils décident à habitent ensemble,
malgré l’amour est un peu tremblé
chaque jour surgissent de petites querelles,
quelles choses sont ou ne sont pas personnelles
quelles ne sont pas personnelles
les temps ont causé des sautes d’humeur,
mais de se marier, quel bonheur !
on dit c’est l’hiver d’amour,
l’hiver d’amour
Au printemps quand des arbres fleurissent,
et des discordes ne jamais finissent
des sources pourraient être les railleries et les piques,
ils pleurent et disent l’amour est toxique
les railleries et les piques
oh le nombres de méthodes ratés pour le faire revivre,
suffisant à écrire au moins un livre !
essaient si fort d’être des tourtereaux,
seulement à révéler des geai bleu oiseaux
on dit c’est printemps d’amour,
le printemps d’amour
Á l’été quand il fait chaud,
et d’être ensemble semble cachot
l’envie croissant de rupture,
finalement donne lieu à la cassure
mettre fin à l’attente du chaque admirateur,
qui jusqu’à présent, a joué le rôle du flatteur
l’attente du chaque admirateur
Au soleil, alors qu’on sort dehors,
certains avouent et certains oublient leurs torts
on dit c’est l’été d’amour,
l’été d’amour
Encore commence l’année,
Une nouvelle coqueluche, ça pourrait prédestinée ?
pour quelqu’un, le cycle continue,
pour l’autres, ils attendent pour l’imprévu
aux rares qui se stabilisent, je vous salue,
pour vous les gars, tout est bien qui finit bien, je conclue
tout est bien qui finit bien, je conclue
ceux qui ont des hics, pas t’inquiété,
car on attend l’été
car on attend l’été
~Le Faux Français
C’est tout! À bientôt !